Si l’égocentrisme a toujours fait le jeu de l’espèce

Si l’égocentrisme a toujours fait le jeu de l’espèce et le fait encore, il n’a jamais fait le jeu de personne. Chacun pourtant le sait confusément, c’est lorsque nous avons accepté de nous ouvrir à l’autre que nous sommes nés pour de vrai, c’est lorsque celui-ci s’est mis à chanter d’autres airs que nous nous sommes penchés pour relever d’autres empreintes que les nôtres.
Pourquoi donc nous être arrêtés en si bon chemin et n’avoir pas regardé plus loin ? Car si nous manquons de passeurs, il reste encore la possibilité de nous éloigner de nous-mêmes.

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