Il y a deux précarités. Celle qui, née du doute, ouvre sur le fragile équilibre des choses. Il y a celle qui détruit ceux qu’elle accable et qui ne leur laisse rien, pas même la prière.
Il y a deux précarités. Celle qui, née du doute, ouvre sur le fragile équilibre des choses. Il y a celle qui détruit ceux qu’elle accable et qui ne leur laisse rien, pas même la prière.