Mont-sur-Lausanne / 12 heures
On se prend à regretter dans nos campagnes et nos villes – à tort je le confesse – les fresques des peintres médiévaux et la crédulité des fidèles. Elles avaient l’immense mérite de mettre à la disposition de chacun, dans nos églises et nos cathédrales, des représentations susceptibles de faire le départ entre les enfers et le paradis, le bien et le mal, les vices et les vertus. Difficile aujourd’hui de ne pas confondre les sourires des monstres et les grimaces des anges sur les plateaux de nos télévisions.
On se prend à regretter dans nos campagnes et nos villes – à tort je le confesse – les fresques des peintres médiévaux et la crédulité des fidèles. Elles avaient l’immense mérite de mettre à la disposition de chacun, dans nos églises et nos cathédrales, des représentations susceptibles de faire le départ entre les enfers et le paradis, le bien et le mal, les vices et les vertus. Difficile aujourd’hui de ne pas confondre les sourires des monstres et les grimaces des anges sur les plateaux de nos télévisions.