Riau 2.3.1
Riau Graubon / 9 heures Sombre ferveur sans but, sans appui. Une fatalité l’ordonne, voyez-vous, je prends très au sérieux ce combat pour la vie.
Riau Graubon / 9 heures Sombre ferveur sans but, sans appui. Une fatalité l’ordonne, voyez-vous, je prends très au sérieux ce combat pour la vie.
Riau Graubon / 13 heures Un coquin d’utilité publique ? L’idée me plaisait, pour peu qu’il veuille bien laisser tomber les voies laborieuses et soutenir de...
Riau Graubon / 14 heures Luxe intérieur, hauteur princière, je m’étais si bien attardé en plein air sur un banc public.
Riau Graubon / 18 heures Habitants polis, parcs verdoyants, arbres, chuchotement bienveillant, il valait bien la peine de se promener. Le château nous fit pense...
Riau Graubon / 14 heures J’essaie de comprendre une deuxième fois ce sacrifice, le premier de ma vie. Qui ressemblait à n’importe quel autre, pas davantage mais...
Riau Graubon / 15 heures Personne ne doit voir sur vous que vous êtes singulier. Il me tendit surplus et réserves. A présent vous avez bonne façon. Allons faire...
Riau Graubon / 15 heures Attendez un peu ! vous laissez voir votre vie intérieure, c’est pure sottise, vous êtes maladroit. Vous admettrez que j’ai raison,...
Riau Graubon / 13 heures Toits, tours et pignons dans le ciel en accordéon, tout autour une musique de fête. Je la trouvai enfin, elle était encore au lit. &nbs...
Riau Graubon / 8 heures Un vide dans la nuit dur comme la pierre, ne pas s’y attarder. Je me levai, m’approchai de la fenêtre, et goûtai à un clair de bru...
Riau Graubon / 10 heures Vous voulez savoir ? Un peu d’expérience, de l’appétit, me reposer, votre permission. Telle est ma conviction.
Riau Graubon / 16 heures Remonter dans la rue, entrer chez un coiffeur, dans un magasin de chaussures, dans un hôtel-restaurant. Hep là, vous, dites donc, qu’es...
Riau Graubon / 14 heures Une auberge où je dévorai une escalope panée, une ferme délaissée, de la chaleur de midi à revendre, une prospérité passée : l’inv...
Riau Graubon / 17 heures Je courais à l’air libre où régnaient le gros temps et les gros mots, la faim et la soif. Quel culot !
Riau Graubon / 14 heures Un jeune sans expérience dans les champs de blé, le bleu tout là-haut et le blanc des nuages d’été. L’habitude ne l’encombrait pas, ô p...
Riau Graubon / 16 heures Ainsi vous m’abandonnez, je devrais gronder votre nature rebelle et votre soif des lointains. Votre départ bien sûr me contrarie, mais ...
Riau Graubon / 7 heures Vos bagages sont faits, est-ce possible ? Restez encore un peu.
Riau Graubon / 15 heures La situation devenait intenable, ils prirent la décision de reprendre leur vie errante. Le grand air et la fréquentation de gens fruste...
La pauvre, on la comprend, commençait à trouver ennuyeux de raconter des histoires ; elle avait un urgent besoin de complicité.
Riau Graubon / 16 heures Dans une chambre à l’écart il peignait un rêve Le suivait sans doute d’un petit peu trop près.
Riau Graubon / 14 heures Recommandations, profondeur, faveurs, force… il était tout près d’en mourir. Cependant, il y avait lieu de s’étonner d’être.