Il y a les îles
le ruisseau qui se gargarise
les dernières heures du capitaine Nemo
les fenêtres ouvertes des maisons vides
il y a le bus de la poste qu’on avait cru déjà passé
il y a les dettes sans contour
l’empreinte de la main du père
les fraises des bois tiédies par le soleil d’août
il y a le banc du chemin des Tailles
Jean Prod’hom