Lausanne / 18 heures
Les chevaux et les buffles ont quatre pattes: voilà ce que j’appelle le ciel; mettre un licou au cheval, percer le museau du buffle, voilà ce que j’appelle l’humain. C’est pour cela que je dis, poursuit le seigneur de la Mer du nord: veille à ce que l’humain ne détruise pas le céleste en toi, veille à ce que l’intentionnel (kou) ne détruise pas le nécessaire (ming).
Jean François Billeter, Tchouang-Tseu