Catégorie : Hors jeu
Colonie de Payerne
Payerne / 15 heures Le domaine sur lequel la colonie de Payerne s’établit en 1872, à trois bons kilomètres de l’abbatiale, s’avéra rapidement trop petit ...
Bibliothèque
Riau Graubon / 11 heures Quelque chose du dehors – piégé accidentellement dedans le cerveau – se glissa à l’intérieur d’une phrase qui roula en pent...
Baie de Brandon
Fahamore / 12 heures Cher Pierre, Quand on eut fait nos valises et qu’on les eut placées côte à côte dans le coffre de la Skoda louée à Cork, on se rendit...
Croix d’Or
Carrouge / 17 heures On a assez répété tout ce que l’avenir devait aux friches, à l’ignorance, au malentendu, à la guerre, à ce qu’on ne chois...
Cette mélodie sortie de rien
Nous ne prendrions donc la parole que pour la donner à celui que nous hébergeons, chargé de trouver un passage, improbable, dans le charivari des voix qui nous ...
Vivant séparé du milieu qui l’a vu naître
Vivant séparé du milieu qui l’a vu naître. D’où qu’il vienne et où qu’il aille un banc pour se reposer, un livre, un paysage, un jeu pour s’étourdir, des souven...
Droit au repos
Droit au repos, mais en un sens absolu, où se condenserait ce qui a été exclu. Oh ! presque rien, un peu d’immobilité, le battement de notre coeur et celui...
Les bonnes affaires
Les bonnes affaires se font toujours sur fond de frustration, d’échec, de maladie, de manque, de souffrance, de panne, de disette… Ce couplage n’est évide...
Faire le mort
Faire le mort sans éveiller de soupçon. Miroir de l’étang, voix graves, l’eau qui bout, ne toucher à rien, ni faux bonds ni remous. Bien entouré sou...
Giorgio Agamben encore
Giorgio Agamben encore : La nature et les animaux sont toujours déjà prisonniers d’une langue, ils ne cessent de parler et de répondre à des signes, même e...
Le monde que je rejoins chaque matin
Le monde que je rejoins chaque matin ne m’a jamais fermé la porte au nez, je sors du lit pour y entrer depuis que je suis capable de me déplacer par mes propres...
On ne cherche pas plus l’absolu que le paradis
On ne cherche pas plus l’absolu que le paradis ; mais on en a un échantillon dans le coeur, déposé il y a longtemps déjà. Ce printemps, un merle qui ...
La porte
La porte est aussi étroite que le seuil fut immense.
Voici que des voix familières
Voici que des voix familières ramenèrent le tohu bohu, dont il s’était gardé pour donner un peu de jeu à ce qui affleurait sur sa peau et dans les airs. M...
C’est après
C’est après – et parce qu’on nous y a invité – que nous nous retournons sur les événements qui ont jalonné notre vie. Que nous cherchons...
Qu’on vous laisse entendre
Qu’on vous laisse entendre, un jour, que vous n’êtes pas indispensable dans l’exercice de vos fonctions – que vous ne l’avez...