IX

Comme toujours il sort le premier du café, il s’immobilise sur le seuil, lève la tête et scrute le ciel comme s’il était aux commandes d’un gros porteur. Il passe distraitement une lingette humide sur la pointe de ses chaussures noires – l’homme est encore souple. Sa femme le suit, elle serre les dents pour empêcher sa bouche dont les lèvres coulent de chaque côté du visage de tomber.
Mais elle revient sur ses pas et se saisit au patère du masque mortuaire derrière lequel ses yeux noirs, qu’on distingue à peine, vont se terrer désormais. Elle ne le retirera plus de la journée.

Jean Prod’hom

Génération spontanée

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Jean Prod’hom

Mité

C’est une sale histoire que je voulais te raconter – mais en aurai-je le temps? –, une histoire dont j’aurais souhaité quetusisisseslfinvntque une pench surce ligne,crjeiàl’innqu’il fudrr noncerà enonnîre l derni rmo.L’ôeindéirblegue ,ilpproe inviil .J perçoipourn,ime fu—–éérer,uri-j eempde u dire.‘enn mie dn—–pe,ieàuvre.Je—-vique—–irriveri—-miiô?J’uriv—–diperdeqeqe—-gn—-enre———————-p—–nv——m——-p—-m———–dé——j—-———————————-m——-vg——-j—————é———-———————-éé———.——–!—–!

Jean Prod’hom