Eder
- Bravo, maintenant que l’as cassée, je vais m’amuser avec quoi ?
- Bah, c’est pas très marrant ton jeu, en plus c’est trop facile.
- Tu proposes quoi alors? lui dis-je plus calmement.
- Viens avec moi !
- On peut se servir ?
- Ouais, bien sûr !
- Et la grande maison derrière, elle est à qui ?
- Personne, t’occupe! m’a-t-il dit en prenant des fruits.
- Cours! a-t-il crié.
Au fond du couloir (4)
Je me suis échappé
Mais ça a été compliqué
Cette voix, elle est encore là
Et elle m’a expliqué:
Bravo, tu n’as pas trouvé la mort
Je n’ai pas besoin
d’appeler un croque-mort
La dernière épreuve arrivera
Mais à celle-ci
Tu mourras…
Une fenêtre
Qu’une simple fenêtre de verre
Nous laissant apercevoir un avion
Qui vole dans les airs
Disparaissant à l’horizon
Pour atteindre l’autre côté de la Terre.
Il se posera quelque part
Laissant descendre ses passagers
Puis il prendra un nouveau départ,
Et survolera d’autres contrées
Arrivant parfois en retard
Dans des pays étrangers.
Chiara et Tina
Derrière les murs (4)
*Pan*
Ce bruit ne venait pas de la détonation d’un pistolet, mais de quelque chose situé au coin de la pièce, que je n’avais pas aperçu avant.
La femme : Rhaaa, mais qu’est-ce qu’il y a, encore !
L’homme : Euh… je crois que les plombs ont sauté, boss. Le générateur a calé.
La femme : ENCORE ? Bah alors, qu’est-ce que t’attends ? Va me réparer ça, TOUT DE SUITE !
L’homme : M...m... mais… le bruit… enfin… et si… on aurait vraiment dit un...
La femme : Tu tiens à ta paie ?
L’homme : … Oui, chef…
Au fond de moi, je bénis l’humble générateur qui m’a sauvé et la bêtise de ces brigands. Brigands, j’en suis sûr, car ils ont tous deux une arme. Mais… comment faire pour m’échapper de cet endroit et les dénoncer ? Hmm… Pourquoi ne pas profiter de l’obscurité pour s’en aller discrètement ? Tel un agent secret, je me faufilerais entre les ombres, échapperais aux regards indiscrets et… Bon, réfléchissons… Si je passe assez vite entre ces deux caisses, je pourrais passer sous cette bâche, et, si ce duo n’a pas encore réparé le générateur d’ici là, je pourrais sortir sain et sauf ! Aussitôt dit, aussitôt fait, et je repasse par la porte d’où je suis entré tout à l’heure.
Sans réfléchir, je pose mon pied sur une partie du plancher où le bois est plus sombre. Je sens mon pied s’enfoncer…
*Crac*
à suivre...
Xavier
Le journal d'Hugo (13)
Le jeudi 2 octobre 2014
Je n’ai pas eu le courage de finir d’écrire ma journée d’hier. Leur bisou m’a brisé le coeur. J’ai encore la boule au ventre, je croyais que je pouvais lui plaire, mais non. C’est Rudolph qui lui a plu. Je vais mettre les choses au claire avec eux, je ne peux pas leur en vouloir.
A la maison, ça continue, on ne se parle pas.
Maman nous annonce qu’elle a un rendez-vous de travail à 17 heures et qu’elle ne sera pas de retour à la maison avant 22 heures Je regarde mon frère, le message a été clair. On pourra jouer aux jeux vidéo toute la soirée sur l’iPad.
Un peu plus joyeux, je pars de la maison. Je décide de parler à Rudolph et à Tressia à la récré, mais pas avant. J’arrive à l’école, la première chose que je vois, c’est Tressia dans les bras de Rudolph. Je fais semblant de ne pas les voir. Pendant les trois premières périodes, Rudolph essaie de me réconforter et demande qu’on se réconcilie. J’essaie de l’ignorer mais un quart d’heure avant la récré, je ne tiens plus. Je remarque que lorsqu’on est en froid, ça lui fait autant de mal qu’à moi. On s’excuse et tout va mieux. Mais pour Tressia, j’appréhende beaucoup plus…
En rentrant à 16h30, je vois maman se préparer pour son sois-disant rendez-vous de travail mais j’ai fouillé sur son ordi et je crois que c’est plutôt un rendez-vous amoureux…
Conversation entre les jours de la semaine
Vendredi : La semaine dernière je suis rentré avec un mal de tête pas possible ! Je préfère regarder un film sur Netflix et commander une bonne pizza avec Dimanche.
Samedi : Mais j’ai envie de faire la fête !
Lundi : Si tu veux bien, je viens avec toi.
Dimanche : Mais toi tu es toujours dépressif et désespéré, personne ne veut sortir avec toi…
Jeudi : Totalement vrai.
Lundi : Alors si c’est comme ça, je propose à Mardi une soirée lecture !
Mardi : Ah non, je suis débordé de travail, peut-être une prochaine fois.
Lundi : Et toi Mercredi ?
Mercredi : Désolé je serais trop fatigué, ma journée est bien trop remplie : jogging; courses à faire; cours de violon et repas de famille.
Samedi : Donc personne peut venir avec moi ?
Jeudi : Si seulement je pouvais… Mais ma semaine était tellement rude que je ne pense même pas tenir une heure.
Vendredi : Pourquoi ne restes-tu pas avec nous ?
Samedi : Je dois profiter de mon week-end à fond, sinon je vais devenir comme Lundi.
Lundi : Mais c’est quoi mon problème ? Je me trouve très bien.
Samedi : Tant pis, j’irai seul. Bon je vous laisse, je vais faire la sieste pour être bien reposé ce soir.
Vendredi et Jeudi : Bonne soirée, profites-en pour nous.
Lundi : Sois prudent!
Samedi s’en va.
Vendredi : Avez-vous des propositions de films ?
Lundi : Titanic ?
Dimanche : Trop déprimant, comme toi.
Mardi : Un documentaire sur la savane ?
Dimanche : Trop ennuyant, comme toi.
Mercredi : Vous n’avez qu’à faire un cours de tango sur Youtube.
Dimanche : Trop agité, comme toi.
Jeudi : Hunger games ?
Vendredi : Bonne idée, merci beaucoup !
Dimanche : Ça me va.
Les jours se séparent.
Esther et Kelly
Liste des courses hebdomadaires d'un père exemplaire
Un paquet de cigarettes pour tenir ce week-end
Deux aiguilles à tricoter pour que la voisine nous laisse tranquille
Un peu de brocolis et de courgettes pour empoisonner les enfants
Un kilo de tomates cerises pour une bataille de sarbacanes
Du gruyère rustique pour le vieux directeur de l’usine où je travaille
De quoi faire des bombes à eau et des popcorns pour être tranquille dimanche
Des croquettes hors de prix pour le chat qui râle dans le salon
Trois paquets de PQ pour occuper le chaton surexcité de ma femme (il passe son temps à déchirer mes dossiers)
Un livre d’origami, parce que les papiers importants volent mieux
Une boîte de Ferrero Rocher, pour avoir de l’aide pour payer les factures
Plusieurs pizzas à réchauffer car ma femme a la flemme de cuisiner
Douze packs de bière et des stocks de Cheeseburgers pour le Fifa17 entre collègues samedi prochain
Et enfin le nécessaire pour la survie dans ce monde nul: un carac.
Dimitriy
Les mondes parallèles...(1)...seléllarap sednom seL
Note des auteurs : ce texte est le parallèle, prenant son temps, du précédent.
Le journal d'Amelie (5)
Quand soudain on sonne à la porte. Je me demande qui ça peut bien être. J’ouvre.
- Salut, je m’appelle Lucie et je viens voir Aurélie.
- Je suis sa soeur Amélie et je dois t’annoncer une nouvelle. Entre seulement, prends place sur le canapé. Je suis navrée mais Aurélie est décédée.
- Non, c’est impossible car…
Au fond du couloir (3)
Et une trappe j’ai trouvée
Et dans celle-ci je me suis glissé
Et je me suis retrouvé
Complètement attaché
De la tête au pieds
Soudain j’ai entendu encore cette voix
Qui cette fois m’a laissé le choix
Elle s’est mise à parler
Et m’a expliqué:
« Si mon épreuve, tu arrives à la réussir
Alors tu pourras partir
Mais si tu n’y arrives pas
Tu resteras là
Vivre
Ou mourir
À toi de choisir… »
Ludovic et Tim
Les Moines plutoniens (7)
Source de l’image
« Si d’ici dix mille ans nous ne réussissons pas à nous unir en une seule entité, je vous prédis la mort de l’espèce. »
A’Varda Elon
DEPART
Peu de temps après la destruction du porte-chasseurs, une gigantesque explosion anéantit un quartier non loin d’ici. Il va falloir faire vite si nous voulons survivre à cette invasion. Ni une ni deux nous prenons nos affaires tandis que, dans le ciel, des centaines de vaisseaux se tirent dessus. Ce monde qui était prospère il y a à peine une heure est devenu un vaste champ de ruines, me dis-je à moitié essoufflé. C’est alors que nous arrivons devant le spatioport, encore alimenté malgré la guerre, et visiblement intact. Le téléporteur ne marchant plus, nous prenons l’ascenseur. Nous voyons le paysage urbain défiler à toute allure tandis que nous montons, accompagnés par un léger air de musique classique et le son des explosions à l’extérieur.
Arrivés au dernier étage, l’ascenseur s’arrête, et la porte s’ouvre. Un voix métallique nous dit que nous sommes arrivés, et nous descendons. Les portes du hangar s’ouvrent en produisant un crissement métallique insupportable. Je vois mon vaisseau non loin et je dis à tout le monde de monter, à tout le monde de s’accrocher, et le vaisseau part en vitesse lumière. Quand il s’arrête, nous sommes au-delà de l’orbite de Sirius X. J’enclenche le jumpdrive, et nous disparaissons dans l’inconnu.
David
Fierté
Avec la chaleur d’été.
Cette période est la meilleure mais malheureusement, elle est très courte.
Le moment où j’arrive, je suis la plus heureuse et quand je repars, la plus triste.
Ma famille, je la vois aussi.
L’avion est celui qui m’emmène au paradis.
La beauté de ton drapeau me fait rêver.
J’ai vu ta merveille qui est connue dans le monde entier.
Mon grand-père et mes oncles t’ont protégé pendant tant d’années…
À l’armée.
Je trouve que tu es le meilleur pays.
Après c’est mon avis…
Pour mon pays, l’Inde
Anisha
Les petits textes d'hiver (suite)
Maela et Xavier
Journal de Rebecca (2)
18 avril 2013
Ça y est, elle est amoureuse! Mais elle ne sait pas de qui.
En effet, hier soir, Eléna s’est fait embrasser par quelqu’un au moment où les plombs ont sauté. Cette personne est partie aussi vite que Petit Tonnerre de Yakari – oui, j’ai 14 ans, et alors. Ensuite, Eléna est montée avec Tayler à cause du bruit à l’étage. C’était Tessa. Eléna m’a raconté que sa soeur s’était encoublée dans son tapis en essayant de sortir par la fenêtre pour rejoindre Alexander. Ils voulaient aller en boîte de conserve…non j’rigole, en boîte de nuit pour faire la fête. Les jumeaux promettent de ne rien dire aux parents, si elle fait le ménage après la fête. Bon, je vais arrêter de parler de Tessa, alors qu’Eléna est en train de souffrir à côté de moi. Je lui propose de regarder Le Roi Lion, et après, d’enquêter sur ce mystérieux garçon.
Le film vient de se terminer. Elle m’avoue qu’elle a un tout petit faible pour Fabien. On fait un plan de l’emplacement des personnes dans la pièce. Le hasard a fait que Fabien était tout proche de l’emplacement de l’incident.
Voici, à peu de chose près, l’emplacement des personnes présentes à la fête juste avant que les plomb aient sauté:
Bleu: Personnes qui n’ont pas d’influence sur cette histoire.
Rose: Filles influentes sur cette affaire.
Violet: Garçons influents.
Les sentiments de Laura (5)
Ce matin je me réveille paisiblement avec la lumière du soleil du matin passant à travers mes stores. Je les ouvre sur les grands buildings de New-York. Une épaisse couche blanche les couvre. Je réfléchis même pas une seconde : « La neige est enfin là ! »
La faim se fait ressentir… Je vais à la cuisine. Je vois sur la table un cadeau couvert d’un papier multicolore. Un petit mot est écrit dessus : « Pour Laura. » Je déchire le papier d’emballage à la vitesse de la lumière. Je découvre avec stupeur un gâteau au citron de chez Nicole Cottier, mon préféré ! J’en ai l’eau à la bouche ! Avec les bons résultats que j’ai eus à l’école, mes parents ont décidé de me faire une surprise gustative. Ils savent que je suis une vrai amatrice de gâteaux !
L’heure a filé très rapidement et je dois déjà partir. Quand j’arrive à l’école, je me rends compte que c’est l’anniversaire de Mélanie. Heureusement que je n’avais pas oublié le sac avec une petite surprise pour elle ! Je l’embrasse et lui offre mon cadeau. Elle est très contente que j’aie pensé à elle, je suis la seule à lui avoir offert un cadeau.
Plus tard, Elliot, mon meilleur ami, vient me proposer de sortir après les cours pour prendre une boisson chaude, ce que j’accepte. Les cours fusent, les professeurs sont contents de ma motivation aujourd’hui. J’ai beaucoup d’enthousiasme, car pour l’instant ma journée se passe à merveille. La sonnerie retentit, Elliott m’attend devant la porte et nous allons nous promener sur le chemin qui mène à la ville. Nous prenons une boisson et nous continuons à marcher. Nous nous regardons et il me sourit. Je rougis. Très lentement, il vient poser son bras sur mon épaule…
Cet arbre
Aussi vieux que le marbre
S’élance vers les nuages
Pendant que la neige de passage
Depuis sa longue branche
Tombe vers le sol tel une avalanche
A l’automne il se pare de sang
A l’hiver il se pare de blanc
Au printemps il se pare de fleurs
A l’été il se pare de belles couleurs
Toujours beau
Il est comme un cadeau
Pour nos yeux
Il brille de mille feux
Il vivra plus vieux que nous
Pauvres fous
Qui croyons pouvoir
Nous asseoir
Sur ces géants
Plus vieux que notre sang
Leo
Le Petit Oscar
Au bord du rivage
Observait les têtards
La tête dans les nuages
Il lançait des cailloux
Tentant de faire fuir
En leur évitant de souffrir
Ces poissons du Pérou
Une barque en bois
Affola les oies
L’homme dans le bateau
Mit sa canne à l’eau
Oscar écoutait
Le chant du geais
Un sentiment de paix
Heureux il l’était.
Esther, Fanny et Marilou
Quelques mangas !
1. Tokyo Ghoul
Et si le monde était peuplé de créatures qui nous ressemblaient mais qui dans l’ombre dévoraient les humains? Notre héros va découvrir le monde des goules…
2. L’attaque des Titans
Vous êtes vous déjà demandé à quoi ressemblerait un monde où l’homme était loin d’être la race dominante et vivait derrière un mur craignant… les titans.
3. One punch man
Ne vous êtes vous jamais dit qu’être un super-héros ce serait génial? Saitama est devenu l’homme le plus fort du monde grâce à un entrainement tellement intensif qu’il en a perdu ses cheveux.
4. Noragami
Découvrez l’histoire de Yato, un dieu vagabond qui rêve de se payer un temple grâce à des petits boulots, mais un jour à la recherche d’un chat perdu il rencontre une fille… spéciale.
5. Akame ga kill!
Rejoignez une équipe d’assassins qui cherchent à venir à bout d’un baron corrompu par l’argent.
Mais un assassinat n’est jamais simple …
6. Assassination classroom
Si vous avez déjà rêvé de tuer votre professeur, et qu’en plus on offre 1 million de yens pour son assassinat, vous êtes au bon endroit mais est-il possible de tuer un professeur qui se déplace à la vitesse de la lumière?
7. Food Wars
Une bataille épicée entre de fabuleux cuisiniers qui vous donnera toujours envie de cuisiner et de manger, un peu comme chez votre grand-mère.
8. Mondaiji tachi
Et si vous aviez des pouvoirs et qu’une femme-lapin vous emmenait dans un monde où tout le monde a des pouvoirs et que vous veniez a vous battre pour une guilde, vous me diriez que c’est génial, non ?
9. Kabaneri of the iron forteresse
Un monde dévasté par les kabanes – des créatures au coeur d’acier. Découvrez comment nos héros vont leurs échapper…
Voilà je n’ai pas pu mentionner tous les des mangas qui me plaisent; mais bon, ça vous fera déjà de quoi vous occuper.
La vie en Syrie (2)
source image
Je devais partir
Pour arrêter de souffrir
Il me fallait prier
Car seul dieu pouvait m’aider
Il me montrera la voie
Celle qui guidera mes pas
Je me demande pourquoi
Je fais tout ça
Car à la fin de ce parcours
Peut-être que la mort m’attendra
Le journal d'Amélie (4)
Je décide alors de lire son journal intime, en espérant trouver des informations sur son décès. Je lis toute la nuit. Je vois qu’elle parle beaucoup de sa copine Lucie avec qui elle rentrait tous les jours de l’école. Je rentre le lendemain avec Emma en lui racontant toute l’histoire. On se quitte et je pars faire des crêpes quand soudain…
Le journal d'Hugo (12)
Le mercredi 1er octobre 2014
Je n’ai toujours pas le droit d'utiliser mon natel. Mais, le plan a fonctionné pour sauver l’iPad mini. Je n’ai pas écouté Rudolph et Tressia qui me conseillaient de bouder ma mère. Bref…, je descends dans la salle à manger, encore de la confiture à l'orange. Papa me manque déjà.
Après le petit-déjeuner, direction le salon, maman est encore sur son ordinateur. J'allume la télé et les pubs défilent. Elle les regarde, me dit soudain de mettre pause, c'est fait. Elle me demande alors d'épeler les lettres affichées: T-I-N-D-E-R. Non, pas possible! Ma mère s’inscrit sur un site de rencontre. A l’école, ils parlent tous de ça. Je pars de la maison avec un sentiment étrange, un mélange de haine et de désespoir. Déjà, je ne comprends pas comment elle peut passer à une autre histoire et en plus elle doit être vraiment désespérée au point de s’inscrire sur Tinder.
Hier, j’étais tout content que Rudolph et Tressia se rencontrent et s’apprécient beaucoup. Mais aujourd’hui, je trouve qu’ils se sont un peu trop rapprochés. La matinée se passe à merveille, je me sens encore plus proche de Rudolph. On attend Tressia, elle arrive. Et là, c’est le drame!
Le Journal de Nicolas (2)
Lundi, 17 août 2014
Cher journal,
Aujourd'hui je suis arrivé à Londres, ma nouvelle ville. Je suis très content d’y être venu parce que c'est une ville vraiment magnifique, mais je ne veux pas rester.
Ma maison est un peu petite : il y a trois chambres, une cuisine, un salon et une salle de bains. Les chambres : la grande pour mes parents, la plus petite pour moi et la moyenne pour Julie, qui doit avoir la chambre moyenne parce qu'elle va avoir des trucs de bébé. J'ai discuté avec ma mère pour avoir la chambre de Julie mais elle n’a rien voulu entendre.
Quand je suis monté dans ma chambre pour défaire ma valise, j'ai entendu la sonnette: les nouveaux meubles sont arrivés. C'est la catastrophe dans le salon. Mon père ne comprend pas ce qui est écrit sur la feuille d'indications et m'a appelé. Mais avant que je puisse descendre j'ai entendu un cri hideux de mon père...
Nicolas
Joueur(3)
Gaspard ne savait pas où il allait mais il savait que s’il allait loin d’ici, les hommes ne pourraient pas le rattraper. Enfin peut-être mais difficilement. Il devait être 16 heures quand la voiture n’eut plus d’essence. Gaspard n’en pouvait plus, il souffrait de l’épaule. Il utilisa ses dernières forces pour verrouiller la voiture de l’intérieur et tomba dans les pommes.
Bastien B. et Matthieu
Les mondes parallèles…(1)… seléllarap sednom seL
Au fond du couloir (2)
Dans ce couloir abandonné,
Si sombre, personne n’y est allé,
Qui ne faisait que m’effrayer.
Je me suis découragé.
Finalement j’y suis retourné
Et j’ai trouvé
Un simple escalier.
Je me suis demandé:
Serait-il infini?
Une voix m’a répondu:
L’avenir nous le dira mon cher ami…
Sources : 3DVF
Le journal d'Amélie (3)
Cette nouvelle est dure à accepter. Je me dis que s’est impossible. Je décide d’aller fouiller la chambre d’Aurélie de fond en comble. J’espère trouver un indice qui puisse m’aider à comprendre son décès. Le policier nous avait expliqué qu’elle s’est fait renverser par une voiture.
Mais ma soeur n’était pas suicidaire. Je ne trouve rien de concret. Soudain, j’oublie un objet très important pour ma soeur, « son journal intime ». Je décide alors de le lire...
Magi and the labyrinth of magic
Je vous invite à aller regarder ce manga sur internet, il est … magique.
Flavio
Magi and the labyrinth of magic
Papa Noêlle
Cette anné a été méga longue.
Evidement, j'ai été hyper ultra super sage!
Je veu des petites choses que papa et maman ne veulent pas me donner:
- Un avion de chasse pour attaqué le chat de la voisine.
- Un sachait de billes pour jouer avec Jérémy... si j'ai envi.
- Un hélicoptère télé-commandé que j'attends depuis une éternité.
- Une boite de cubes en bois (je te promets de ne pas les lancer sur Livia).
- Des bonnes notes à l'école pour ne pas me faire grondé par papa et maman.
Ne m'oublie pas, je t'attendrais près de la cheminé.
Enzo
Le journal d'Hugo (11)
Le mardi 30 septembre 2014
Ce matin, je me réveille chez maman et je vais tranquillement sur mon iPhone quand l’autre surgit. Elle regarde mon téléphone et me demande si c’est papa qui me l’a offert. Je lui réponds que oui et là, c’est le drame! Elle s’énerve et me dit qu’elle ne veut pas que j’aie un natel et encore moins que ce soit un cadeau de mon père. Elle va vers Arthur et le voit sur son iPod. Maman crie: toi aussi t’as un de ces engins qui viennent de papa! Elle le confisque et part le cacher avec mon téléphone.
Nous partons à l’école, pour une fois, bien habillés. Je suis trop content de retrouver Rudolph, j’ai plein de choses à lui raconter. A la récré, Tressia (ma magnifique voisine) vient me voir. Elle me dit qu’elle a été faire du golf. Quant à moi, je lui raconte mon week-end de rêve chez mon père. À la cantine, j’ai mangé avec eux, je voulais qu’ils se rencontrent. Résultat: je suis trop content, ils s’entendent à merveille.
Je rentre à la maison tout content car cette journée s’est super bien passée, je dois aller faire un jogging à 17 heures avec Tressia et Rudolph.
Je demande à maman où est mon téléphone. Elle me répond qu’il est à la poubelle comme l’IPod touch d’Arthur. Là, c’est le clash, moi et Arthur contre maman. On s’embrouille et j’oublie le RDV avec Rudolph et Tressia. Je me change en moins de deux et j’arrive avec cinq minutes de retard. Ouf… Ils m’ont attendu. Je leur explique la situation, ils me disent que je devrais bouder ma mère jusqu'à ce qu’elle me rende mon téléphone.
Je ne sais pas trop quoi en penser…
Derrière les murs (3)
Il y a un hangar sous mon manoir (en plus, ça rime)!
Tout au long de ma vie, j'ai vécu des choses heureuses, tristes ou émouvantes. Mais aujourd'hui, je crois que je viens de réapprendre la signification de l'expression« wouah! ».
Je me trouve dans une pièce qui, premièrement, n'est pas agressée par cette humidité nauséabonde ; deuxièmement, il y a de la lumière - ce repaire est utilisé à mon insu pour je ne sais quelles bricoles. Avec une prudence hors du commun, je pénètre dans l'antre. Au fond, une petite porte entrouverte. Il n'y a rien d'autre que des caisses empilées et une vieille ampoule allumée, il y a donc de l'électricité ! Comment se fait-il que je n'aie pas l'électricité alors que, ici, dans ma cave, une ampoule éclaire cette pièce ? Pourquoi y a-t-il des caisses et que contiennent-elles? Je m'approche de l'une d'elles pour l'ouvrir et voir son contenu. Un bruit ! Je me cache derrière l’une d’elles. J'entends deux voix : celles d'un homme et d'une femme.
La femme : Toute la marchandise y est?
L'homme : Oui, boss. J'appelle les « déménageurs »?
Mon genou craque. Les voix s'arrêtent. Je retiens ma respiration et, malgré la fraicheur de la pièce, je sens une goutte de sueur perler sur mon front.
La femme : Quelqu'un nous épie?
L'homme : Impossible ! La planque est introuvable!
La femme : Je n'ai pas le temps de prendre des risques, alors tu va t'assurer qu'il n'y a personne si tu ne veux pas avoir d'ennuis!
L'homme avance dans ma direction. Tous mes membres tremblent. Pourvu qu'il ne me voie pas!
À suivre...
Loïs
Les petits textes d'hiver (3)
Comme s’il revoyait sa vie devant ses yeux, de chers souvenirs lui revenaient : un samedi soir d’hiver, il boit du vin chaud dans un gobelet de plastique au milieu de l’avenue, puis cueille une perce-neige, avant de prendre son vélo en direction de la station pour monter dans un télésiège ; jeudi après-midi, quinze heures et des poussières, lui et tous les membres de son club de golf prennent une fondue à l’occasion d’un de leur rassemblement. Il règne une telle amitié entre eux. Il a gardé une photo, ils sont entourés de leur fanion vert, leur icône. Ensuite, l’un d’eux est devenu son colocataire, puis… Un bruit. (…)
- C’est moi… le « Palindrome »!
Alors c’était cela… tout autour de lui il voyait des scientifiques aux insignes bizarres. Toutes les sciences du monde devaient être réunies ici : des plus diverses, comme les campanologues ou des spécialistes de l’électromagnétisme. Connaissant cet individu, il avait dû s’entourer de tous les arts - il croyait entendre de la musique venant du couloir meublé de tableaux - et de toutes les religions : du christianisme à l’humanisme, en passant par le rastafarisme et le bouddhisme. Mais… qu’allait-il faire de lui?
- Décidément, être agent secret, ce n’est pas une sinécure…
Sans réfléchir, il passa sa main là où il avait caché la balise donnée par D., avant de se rendre compte que les soldats l’avaient mal fouillé, puisqu’elle était encore là. Ces derniers n’étaient d’ailleurs pas plus intelligents que des balais pour nettoyer la poussière. (…)