Le réveil des souvenirs (1)
mardi 04 avril 2015 Rangé dans: Récit
L’air est humide autour de moi. Je peux entendre les grésillements d’une torche à proximité.
J’entends des bruits de pas qui se rapprochent. J’ai peur. Des bruits ressemblant à des couinements de rats m’entourent. J’ouvre discrètement les yeux. Les murs qui m’entourent sont faits de pierres moussues. Je suis allongée sur un tapis de paille et des douzaines de barreaux, fixés devant moi, m’enferment dans une cellule à l’ambiance maussade. Une personne vêtue d’une sorte d’armure noir s’approche de moi. Elle me fixe d’un regard vide et me dit:
- Prisonnière numéro 43, Tsuki, vous serez exécutée demain à la première heure. Moi qui étais à peine réveillée, je ne comprends pas ce qu’il me raconte.
- M…moi? Exécutée? Mais pourquoi? dis-je en ripostant.
- Ne faites pas semblant d’ignorer vos crimes, mademoiselle. Votre sort est scellé, me dit-il de manière froide.
Il finit ses paroles et disparaît dans l’ombre. Ne sachant quoi penser, je me recroqueville sur moi même pour pleurer. Mais à ma grande surprise, aucune larme n’a coulé sur le long de mon visage.
- Il faut que je prenne la fuite! me dis-je à voix basse.
Mais des questions me brulaient les lèvres; pourquoi allais-je être exécutée demain? D’ailleurs, qui suis-je?
- Il faut que je mette les choses au clair, je dois m’échapper d’ici.
J’entends des bruits de pas qui se rapprochent. J’ai peur. Des bruits ressemblant à des couinements de rats m’entourent. J’ouvre discrètement les yeux. Les murs qui m’entourent sont faits de pierres moussues. Je suis allongée sur un tapis de paille et des douzaines de barreaux, fixés devant moi, m’enferment dans une cellule à l’ambiance maussade. Une personne vêtue d’une sorte d’armure noir s’approche de moi. Elle me fixe d’un regard vide et me dit:
- Prisonnière numéro 43, Tsuki, vous serez exécutée demain à la première heure. Moi qui étais à peine réveillée, je ne comprends pas ce qu’il me raconte.
- M…moi? Exécutée? Mais pourquoi? dis-je en ripostant.
- Ne faites pas semblant d’ignorer vos crimes, mademoiselle. Votre sort est scellé, me dit-il de manière froide.
Il finit ses paroles et disparaît dans l’ombre. Ne sachant quoi penser, je me recroqueville sur moi même pour pleurer. Mais à ma grande surprise, aucune larme n’a coulé sur le long de mon visage.
- Il faut que je prenne la fuite! me dis-je à voix basse.
Mais des questions me brulaient les lèvres; pourquoi allais-je être exécutée demain? D’ailleurs, qui suis-je?
- Il faut que je mette les choses au clair, je dois m’échapper d’ici.
Jodie, Mina et Solène
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