Dettes
On ne saurait vivre sans dettes, ni aller de l’avant ni revenir en arrière. Je ne me serais pas risqué non plus dans l’aventure du livre si l’...
On ne saurait vivre sans dettes, ni aller de l’avant ni revenir en arrière. Je ne me serais pas risqué non plus dans l’aventure du livre si l’...
Concerto pour piano et orchestre No. 5 in F mineur, BWV 1056 : II. LargoJohann Sebastian BachColumbia SymphonyGlenn Gould Suis né dans le ventre d&r...
Il n’y a rien, dans ma mémoire, qui précède le français. Le français est à ma racine. Il est l’emporte-pi&...
On n’en sort pas, le réel est hors d’atteinte, inutile de vouloir trop s’en approcher. Ni espérer pouvoir s’en extraire. &...
Le réel est hors d’atteinte, n’aura jamais la précision d’une miniature. Petite image d’enfance. Garder le vague, fermer l...
Chaque communauté du canton de Vaud a dessiné sur son territoire, dès 1812, un espace clos et fermé pour enterrer ses morts à...
Très heureux d’accueillir François Bon, mais inquiet à l’idée que ces pages – faut-il les appeler encore ainsi...
De retour ce matin dans les bois, avec dans la tête quelques éléments d’un texte que François Bon devrait accueillir la semaine...
Un marteau-piqueur, des aboiements, le souffle rauque du mistral, mais aussi les voix enchantées de Françoise, Sandra et les enfants qui jouent au...
J’trouve toujours difficile de dire « oui » sans ajouter un « mais » après.Naomi Fontaine, 4 janvier 2011 Le mercredi apr&e...
la jeunesse va emporte ses promessesnous laisseœuvrantaveuglesoù nous rêvions de joie il y a le pot chinoisrutilant sur la tablele fruit...
C’est en descendant la route des Plaines-du-Loup, un samedi soir de printemps, perdu dans la foule des supporters du Lausanne-Sport que je pris conscience...
J’aime bien les faits. Ils ponctuent le temps, la journée. Du lever au coucher, c’est une ponctuation, la journée est une phrase, il f...
Quand le ciel s’assombrit, l’homme pense avec tristesse aux vies qu’il eût pu mener s’il en fût allé autrement. Il de...
Il n’avait fallu rien moins que deux chocolats chauds pour conclure la balade d’une douzaine de kilomètres – à travers la campag...
Un matin dʼaoût 1988 entre Kérity et Saint-Pierre, un coup dʼoeil, un éclair peut-être, à deux pas du phare dʼEckmühl une lueu...
Comment présenter ça ?dialogue à bâtons rompus OU réunion au sommet (tout le monde n’est pas d’accord s...
Les méandres de la Trème avaient été corrigées, on avait aménagé ses rives, essarté les bois, accroch&ea...
Il dit T’es une fille de la villeavec une moue légèrequi creuse un accent grave sur le bord de sa lèvre je sens bien qu’ê...
Cʼest une poignée de ruines qui serrent les coudes à lʼécart de la grandʼ route où frémissent des couronnes de chardons, les ...