Les horaires scolaires
Nous profitons du texte de Jennifer, qui nous parlait de son école en Allemagne, pour lancer un nouveau débat sur les horaires scolaires.
Cette idée avait déjà été proposée par Nedjma et Dilin qui voulaient savoir «si les élèves seraient prêts à changer leurs horaires d'école afin de pouvoir se lever plus tard le matin.»
Elles pensent que des cours commençant plus tard permettraient aux élèves d’être moins fatigués le matin. Mais elles mentionnaient également l’inconvénient suivant: «Il faudrait terminer l'école plus tard, en fin d'après-midi. En effet, nous pouvons observer que nos très chers voisins les français commencent à 8h et terminent en général vers 17h30.»
Photo : Audrey
Selon un article de «Slate.fr», le nombre d’heures de cours n’aurait aucune influence sur les performances scolaires des élèves. Par exemple, les Finlandais qui détiennent le record du minimum d’heures de cours ont, depuis quelques années, un bon classement par rapport à l’étude «Pisa» (ensemble d’études visant à évaluer le niveau scolaire des élèves).
En Europe, depuis les années 70, les réformes visant à modifier les horaires scolaires n’ont cessé d’être mises en place. En France notamment, une réforme aura lieu à la prochaine rentrée scolaire.
Et vous, comment trouvez-vous nos horaires ? Préféreriez-vous commencer les cours plus tard et finir plus tôt ? Ou rester durant la période de midi, pour pouvoir finir plus tôt ?
Audrey, Elisa et Fanny
L’hymne national suisse ?
Une motion du même genre a déjà été déposée par certains membres de l’UDC et de l’Etat genevois le 13 juin 2013. Cette motion «invite le Conseil d’Etat à inclure au programme du cycle moyen du degré primaire l’enseignement obligatoire de l’hymne national suisse».
La suite : ici
En mai 2013, le Grand Conseil tessinois a décidé que les écoliers seraient obligés d’apprendre notre hymne national ce qui, jusque-là, se faisait au bon vouloir des professeurs de musique.
Faut-il que tous les écoliers suisses apprennent par coeur l’hymne national ? Ou laisser cette question au bon vouloir des enseignants au risque d’abandonner son apprentissage ?
