Raconter
Les Aventure du minuscule Petit Joshua
Joshua n’était pas comme les autres. Pendant que ses soi-disant «amis» jouaient à GTA IV, lui ne pouvait jouer qu’à «Craft ta Mine 2.0!». À cause de cela, tout le monde le rejetait. Pour se faire accepter, Joshua décida de créer son propre nouveau jeu, qu’il appela «Les Aventure du minuscule Petit Joshua»; la particularité de ce jeu était que lorsqu’on y jouait, on était soi-même dans le jeu. Le succès fut tellement grand qu’il devint l’homme le plus riche du monde.
Joshua, petit enfant malaimé
Le souci dans ce jeu, c’était que lorsqu’on était téléporté, les trois vies du personnage étaient trois vraies vies. Dès que la police apprit cela, ils emprisonnèrent Joshua. Mais Joshua n’était pas débile, il avait emporté une Nintendo DS avec le jeu qu’il avait inventé. Il mit la cartouche et entra dans le jeu. Il savait que pour quitter le jeu, il fallait le finir… et que nos actions dans le jeu se produisaient en vrai. Il commença donc dans le niveau prison, son but étant de s’évader. Pour cela, il utilisa le code de triche «Poings de Fer» qui donnait un poing américain surpuissant qui pouvait détruire les barreaux devant lui, et le code «100 vies». Ainsi, il arriva à s’évader de la prison, et arriva au niveau final, qui consistait à cacher à sa mère le fait qu’il avait des devoirs pour le lendemain. Il rata le niveau 98 fois, il ne lui restait qu’une vie, un seul essai. Mais un bug survint et il resta coincé dans les confins de l’espace-temps à tout jamais.
Joshua, petit enfant malaimé
Le souci dans ce jeu, c’était que lorsqu’on était téléporté, les trois vies du personnage étaient trois vraies vies. Dès que la police apprit cela, ils emprisonnèrent Joshua. Mais Joshua n’était pas débile, il avait emporté une Nintendo DS avec le jeu qu’il avait inventé. Il mit la cartouche et entra dans le jeu. Il savait que pour quitter le jeu, il fallait le finir… et que nos actions dans le jeu se produisaient en vrai. Il commença donc dans le niveau prison, son but étant de s’évader. Pour cela, il utilisa le code de triche «Poings de Fer» qui donnait un poing américain surpuissant qui pouvait détruire les barreaux devant lui, et le code «100 vies». Ainsi, il arriva à s’évader de la prison, et arriva au niveau final, qui consistait à cacher à sa mère le fait qu’il avait des devoirs pour le lendemain. Il rata le niveau 98 fois, il ne lui restait qu’une vie, un seul essai. Mais un bug survint et il resta coincé dans les confins de l’espace-temps à tout jamais.
David et Evan
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Le Malentendu
C’est l’histoire d’un garçon qui s’appelle Bernard. Il a les cheveux noirs et a dix-huit ans. Il a deux chats, Felix et Caramel. Il a aussi un chien qui s’appelle Rex.
Bernard se trouvait au parc quand il vu un homme voler des bijoux, le voleur prend la fuite. Bernard le poursuit, le plaque à terre. Il lui reprend les bijoux des poches. La police arrive et voit les bijoux dans les mains de Bernard et l’arrête. A la fin du mois, il sort de prison et n’a qu’une idée en tête, se venger. Il retourne chez lui, et en chemin, il revoit le même voleur et décide de faire semblant d’être ami avec lui. Deux semaines plus tard, il demande au voleur d’aller rendre visite à un ami à lui. Ils partent. Arrivés sur place, le voleur se rend compte qu’ils ne sont pas chez un ami mais au commissariat. Le voleur tente de s’enfuir mais la police l’interpelle et lui met des menottes. La police présente ses excuses et Bernard repart chez lui heureux.
Bernard se trouvait au parc quand il vu un homme voler des bijoux, le voleur prend la fuite. Bernard le poursuit, le plaque à terre. Il lui reprend les bijoux des poches. La police arrive et voit les bijoux dans les mains de Bernard et l’arrête. A la fin du mois, il sort de prison et n’a qu’une idée en tête, se venger. Il retourne chez lui, et en chemin, il revoit le même voleur et décide de faire semblant d’être ami avec lui. Deux semaines plus tard, il demande au voleur d’aller rendre visite à un ami à lui. Ils partent. Arrivés sur place, le voleur se rend compte qu’ils ne sont pas chez un ami mais au commissariat. Le voleur tente de s’enfuir mais la police l’interpelle et lui met des menottes. La police présente ses excuses et Bernard repart chez lui heureux.
Les raisins
Je suis sur le balcon d’un ami et nous lançons des raisins sur les gens qui passent dans la rue. On rigole, surtout lorsque ce sont des enfants que nous n’aimons pas qui les prennent en pleine poire. Ils sont en trottinette et ne comprennent pas ce qui leur arrive, nous nous cachons, ils ne nous voient pas, ils ne se doutent pas que c’est nous. C’est une fin d’après-midi et il fait chaud ; autour de nous, il y a une plante verte et une tortue.
Valentino