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Barthélémy avait abusé de stupéfiants. Il raconta plus tard qu’il s'était pris pour une carotte, puis pour un éplucheur, enfin pour une carotte et un éplucheur.
C’était le beau temps, les tagueurs réalisaient leur oeuvre dans un esprit de totale liberté, les catalogues de leurs graffitis étaient financés par le contribuable et réalisés entièrement par les photographes des polices municipales.
Il y a du grabuge, démêle-toi.
Jean Prod’hom