Raconter

Crans-Montana

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Après être arrivés, il était dans les environs de midi, nous sommes rentrés dans le chalet pour nous y installer. Puis nous sommes partis skier.
La première descente a été difficile. Par la suite ça a été plus facile, histoire de se réadapter. Les chutes ont commencé à arriver et les blessures aussi. Mais les blessés ont toujours gardé la pêche !

Les sorties en groupe dans la neige ont été géniales et plutôt amusantes, surtout les batailles de boules de neige avec M. Favez et notre moniteur Sébastien. Par la suite nous avons pu aller dans le village pour acheter des souvenirs et surtout acheter des bonbons.

La semaine a commencé à se terminer et la boum s’est approchée, donc tout le monde s’est préparé pour descendre dans la salle où se trouvait la fête. Nous nous sommes éclatés, mais ce que nous avons préféré reste les slows. Tout le monde se lâchait et tout ça dans la bonne humeur !

Bref, un camp merveilleux passé avec nos amis et nos professeurs, plein de fous rires, de joie et surtout de bons moments vécus avec chacune des personnes. Des élèves ont appris à skier, d’autres ont fait des progrès. Nous avons été accompagnés de moniteurs extraordinaires et souriants, que d’ailleurs nous remercions pour ce camp fabuleux !

Eva et Lara

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Horror night

Comme chaque vendredi, je vais à l’appui de maths avec Nicolas, Samantha et Capucine. Au milieu du cours, le prof s’absente pour aller chercher quelque chose dans la salle de dégagement. Au bout d’un quart d’heure, il n’est toujours pas revenu alors Capucine va voir s’il y est encore, et, là, nous entendons un cri s’échapper de la salle. Nous voulons sortir mais au moment où Nicolas s’apprête à sortir, la porte se ferme brusquement. Il s’en est fallu de peut pour que son pied ne soit coupé en deux! Là on commence un peu à avoir les jetons. Soudain le rétro-projecteur s’allume et un enregistrement se met en marche tout seul avec une voix grave qui se met à nous crier dessus. Une fois cet espèce de petit film finit, la salle est plongée dans le noir complet. La lampe du bureau s’allume toute seule et là, on voit le corps de Capucine couvert de sang. La seule chose à laquelle on pense, c’est sortir de ce fichu endroit, ça commence à faire vraiment peur! La porte s’ouvre lentement, dehors il fait nuit et l’école est fermée. Tout d’un coup, il y a un bruit derrière nous, en se retournant nous voyons des flaques rouges par terre. En suivant ces traces, nous arrivons jusqu’au corps inerte de Nicolas, lui aussi recouvert de sang. Nous avons à peine le temps de voir son visage avant que le collège entier ne s’éteigne. Samantha me prend la main, j’entends son coeur battre. Quelque chose nous pousse vers l’avant et nous fait tomber. En rouvrant les yeux, tout s’est rallumé et nous nous trouvons étalés par terre. Samantha et moi courons pour tenter de trouver un moyen de se défendre, mais en ouvrant le tiroir de la salle de cuisine, tous les couverts ont déjà disparu. Soudain, un bruit monstrueux tel un grognement de monstre baveux s’échappe de la salle de dessin. Quelque chose me dit que je devrais plutôt essayer de trouver une sortie mais une petite voix dans ma conscience me dit le contraire. Avec Samantha, on se dirige vers cette salle. Elle me serre le bras tellement fort que j’en ai la circulation coupée. Nous montons les escaliers les jambes tremblantes... Arrivés devant la porte, on entend un énorme bruit venant de la salle des réserves.
- On... on va voir? je demande à Samantha la gorge serrée.
- Je sais pas... T’as peur?
- Non.
Bien-sûr, c’était faux. J’avance en faisant les plus petits pas possible avant de me rendre compte que paralysé par la peur je me suis arrêté. La porte de la réserve s’ouvre lentement et j’ai juste le temps d’apercevoir les étagères couvertes d’un liquide rouge. Mes yeux remontent à la source du dégoulinement et là... BOUM!! Samantha est étendue sur le sol, le corps littéralement coupé en deux. À côté d’elle, les couteaux de la cuisine. Je me retourne, mes muscles tremblants de peur. C’est mon tour, je le sais. Je n’ai pas le temps de dire «ouf» que tout devient noir et que mon corps plonge dans les ténèbres.

Delphine, Amandine et Emilie

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Laetitia

Même si nous n'avons pas passé toute notre enfance ensemble, les histoires d'horreur racontées le soir restent les mêmes. Nous nous sommes rappelé d'une histoire d’horreur très connue, l’histoire de Laetitia. Nous avons donc décidé de vous la raconter. Nous espérons que cela réveillera en vous de bons souvenirs ou peut-être de mauvais pour certains...
Bonne écoute!
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Auria, Dilin et Roxane

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L’addiction à internet

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Ça a commencé avec un abonnement, pas cher, juste pour essayer... non... juste pour faire comme les autres. Je me suis dit que pour mes études, ce serait utile... 
Un exposé à faire en histoire. Du travail sur internet: recherches d’informations. J’avais trouvé un super site sur Google. Tout à coup, mon ordi s’est éteint. Quelle poisse! J’avais même pas eu le temps de noter quoi que ce soit. Heureusement, j’ai vite trouvé où était le problème. J’avais simplement oublié de le recharger: il fonctionnait sur la réserve. Une fois mon ordi rechargé, je me suis remis au travail: je devais avoir au moins le squelette de mon exposé ce soir. J’ai trouvé des informations idéales sur mon thème. Mais le prof avait précisé de ne pas tout prendre sur le même site. J’ai donc repris la recherche. J’ai ouvert un site qui avait l’air bien. Mais dès que la page s’est chargée, une image pornographique est apparue. J’ai tout de suite quitté ce site. Internet ne contient hélas pas que des bonnes choses. Au bout de quelque temps de recherches répartis sur deux jours, j’avais assez d’informations. Et je connais maintenant les risques d’internet. 
Ensuite, j’ai découvert les réseaux sociaux. Au début, ce sont les grandes paroles: «Je serai prudent, c’est dangereux.» Puis, en un clic, n’importe qui peut tout savoir de moi.
La notification au coin de l’écran attire mon oeil comme mon esprit. Qui est-ce? Que veut-il? L’excitation, puis le soulagement, ou l’angoisse. Et là, l’idée d’avoir acheté cet ordi juste pour les études devient vraiment ridicule. Et tout ça pour savoir qu’il est allé au cinéma et que le film était «trop bien». Je dois avouer que je n’aime pas forcément connaître la vie des autres mais j’adore raconter la mienne. Un de mes potes a posté une photo de moi un peu gênante alors, à charge de revanche, j’ai publié de belles photos de lui à la beuverie de samedi soir. Youtube, tellement pratique pour regarder des documentaires culturels... pff,... stop au massacre, je me mens à moi-même, je devrais plutôt dire que c’est juste trop bien pour regarder des vidéos débiles qui ne font rire que moi dans ma famille. Lorsque je vais à l’étranger, je passe mon temps dans les strabucks pour avoir le wifi et le prix de mon abonnement a doublé voire même triplé.
Maintenant, l’ordinateur fait partie de mon quotidien. Quand je rentre, je consulte mes mails, mon compte facebook et me laisse tenter par une petite vidéo.

Clémence, Elsa, Samuel

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