Marc
Le débarquement de Normandie (Partie 2)
lundi 05 mai 2014 Classé dans : Récit
Nous nous regroupons avec quelques soldats qui se trouvent près de moi. Nous attendons un char pour qu’il puisse nous ouvrir le chemin. Pendant ce bref instant, j’essaie de récupérer toute l’énergie que j’ai perdue tout en faisant attention de ne pas nous faire repérer par les mitrailleuses allemandes. Pour cela, nous nous collons aux recoins des murailles. Le char arrive enfin pour nous permettre d’avancer. Grâce à trois tirs, il fait une brèche dans le mur. Nous nous y engouffrons et espérons que personne ne nous attend de l’autre côté.
Nous découvrons les maisons détruites, les vitres arrachées et les jardins piétinés. Les villageois soulagés courent vers nous pour nous féliciter. Heureux, guidés par un villageois nous arrivons à notre point de rencontre.
C’est un petit café, à l’intérieur les soldats et les villageois fraternisent. Ça ne dure pas longtemps. Le Allemands ripostent. Tout autour du café c’est la confusion totale. Les balles traversent le café de bout en bout. Nous crions aux villageois de se cacher sous les tables pendant que nous allons affronter les assaillants. Tout en restant à l’intérieur, nous essayons de reprendre le contrôle. Dans le combat, quelques soldats sont blessés par les tirs ennemis. Nous nous demandons comment nous allons tenir.
Nous découvrons les maisons détruites, les vitres arrachées et les jardins piétinés. Les villageois soulagés courent vers nous pour nous féliciter. Heureux, guidés par un villageois nous arrivons à notre point de rencontre.
C’est un petit café, à l’intérieur les soldats et les villageois fraternisent. Ça ne dure pas longtemps. Le Allemands ripostent. Tout autour du café c’est la confusion totale. Les balles traversent le café de bout en bout. Nous crions aux villageois de se cacher sous les tables pendant que nous allons affronter les assaillants. Tout en restant à l’intérieur, nous essayons de reprendre le contrôle. Dans le combat, quelques soldats sont blessés par les tirs ennemis. Nous nous demandons comment nous allons tenir.
Marc
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Le débarquement de Normandie (Partie 1)
lundi 07 avril 2014 Classé dans : Récit
J’arrive difficilement à dormir sur ma couchette, dans un dortoir avec plus de 30 soldats. Un peu agité, je rêve de la manière dont se déroulera la journée de demain. Je me vois déjà le soir sur les grands bateaux de guerre. La mer sera houleuse mais on sera tellement impatient d’arriver qu’on n’y pense pas. La nuit est longue mais le matin finit par arriver. On voit les côtes normandes au loin, la boule au ventre nous embarquons sur les barges.
On entend les balles arriver sur les blindages et notre commandant hurle pour nous motiver. Je saute dans l’eau glacée et malgré la fatigue je donne tout pour me protéger. Je vois de plus en plus de camarades qui tombent à côté de moi et cela me fait froid dans le dos. Mon avancée est rapide. Je passe déjà la première rangée de barbelés, mais la deuxième s’annonce plus difficile en voyant le terrible parcours qui m’attend.
Je rejoins le sable qui est recouvert de végétation. Il y a un second réseau de barbelés mais heureusement une brèche de 2 mètres a été faite. Les mines explosent de tous les côtés. Un de mes compagnons tente une avancée rapide mais malheureusement une mine explose sous son poids. Le souffle est tellement fort que je me suis retrouvé pas terre. Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits et continuer mon redoutable voyage. Les mitrailleuses allemandes font de plus en plus de ravages. Enfin, avec un peu de chance, j’arrive au pied des défenses allemandes sans être blessé.
On entend les balles arriver sur les blindages et notre commandant hurle pour nous motiver. Je saute dans l’eau glacée et malgré la fatigue je donne tout pour me protéger. Je vois de plus en plus de camarades qui tombent à côté de moi et cela me fait froid dans le dos. Mon avancée est rapide. Je passe déjà la première rangée de barbelés, mais la deuxième s’annonce plus difficile en voyant le terrible parcours qui m’attend.
Je rejoins le sable qui est recouvert de végétation. Il y a un second réseau de barbelés mais heureusement une brèche de 2 mètres a été faite. Les mines explosent de tous les côtés. Un de mes compagnons tente une avancée rapide mais malheureusement une mine explose sous son poids. Le souffle est tellement fort que je me suis retrouvé pas terre. Il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits et continuer mon redoutable voyage. Les mitrailleuses allemandes font de plus en plus de ravages. Enfin, avec un peu de chance, j’arrive au pied des défenses allemandes sans être blessé.
Marc