Vilaine nuit
Arthur est à nouveau sur pied et descend au Bugnon ; Lili a passé une vilaine nuit ; je me réveille sur le canapé du salon en sale état, impossible d’aller à la mine. Je téléphone au secrétariat et dicte à Séverine le travail à donner aux élèves. Je passe la matinée au lit, à côté de Lili. Elle va un peu mieux au cours de l’après-midi, c’est pas mon cas. J’envoie à 17 heures un mail au secrétariat bien décidé à prolonger mon congé. J’écoute Henri Thomas. Sept heures du matin se confondent avec sept heures du soir.

Jean Prod’hom